Révolte des Sahraouis - Revolt of the Saharawis - Revuelta de los Saharauis

--> español

--> LIRE l'article: "Les enfants sont les premières victimes de la répression", envoyé spécial , Tarek Hafid, Le Soir d'Algérie, 02.05.06

[extrait: «Ce qui se passe là-bas est horrible et extraordinaire à la fois. Les enfants accrochent des drapeaux sahraouis partout dans la ville. L'emblème national est peint sur les murs, accroché à des fils électriques, sur les toits des maisons. Ils sont même arrivés à en mettre sur les jeeps des militaires et des GUS ! Mais nos enfants sont les premières victimes de la répression. Récemment, les forces de sécurité ont reçu l'ordre de ne les garder que 24 heures au sein des commissariats, juste le temps de leur casser les bras et les jambes afin qu'ils ne puissent plus courir et brandir le drapeau sahraoui. Durant mon séjour, 43 enfants étaient hospitalisés pour fractures aux membres inférieurs et supérieurs» raconte Mohamed en indiquant que cette génération d'enfants représente un véritable danger pour l'administration coloniale marocaine.]

--> 09.05.06: l'Association sahraouie des victimes ds graves violations des droits de l'homme commises par l'Etat du Maroc, El Ayoune - Sahara Occidental, rapporte:

«Les autorités marocaines, précisément les forces policières, continuent d'attaquer les enfants sahraouis en leur faisant subir des formes de tortures sans aucune raison:

Mohamed Ali Mohamed, né en 1995, a été victime de torture dans les locaux de la police après avoir été sauvagement maltraité dans la voiture de la police qui l'emmenait vers le commissariat. Mohamed, a été arrété le 08/05/2006 alors qu'il jouait au football dans la rue. Les agents de la police ont essayé de lui faire un chantage. Il veulent qu'il leur disent qui lui donne les drapeaux sahraouis contre 100 dhs. Refusant leur chantage, Mohamed a dû subir toute les formes de vengeances allant de tentative de l'etouffer, passant par toute sorte d'insulte et arrivant au tabassage. Mohamed, a aussi été obligé de réciter les slogants sahraouis. Et quand ils lui ont demandé de réciter l'hymne national sahraoui, Mohamed a du repondre qu'il ne le connait pas ce qu'il lui a couté une autre séance de torture.

Najem Mohamed oueld Ahmed Salem, né aussi en 1995, a été la deuxième victime des forces repressives marocaines. Il a été arrété avec Mohamed Ali Mohamed et a du subir les mêmes formes de torture.»

--> Se multiplican las noticias sobre exacciones encontro de los niños saharauis en los territorios ocupados, como en el articulo en francés "Les enfants sont les premières victimes de la répression" [Los niños son las primeras victimas de la represion] de Tarek Hafid, Le Soir d'Algérie, 02.05.06.

--> El 09.05 la Association sahraouie des victimes ds graves violations des droits de l'homme commises par l'Etat du Maroc, El Ayoune - Sahara Occidental, señala los casos de Mohamed Ali Mohamed y Najem Mohamed oueld Ahmed Salem nacidos en 1995, maltratados por la policia en el comisariado. ver texto en francés màs arriba.

--> Tambien nos escribe Toni <riodeorof@hotmail.com> el 09.05.06
«Hola compañeros, ayer tarde recibí una llamada por internet a través de un contacto desde Smara ocupado. La situación fue tremenda hablé con Jalijena Hamdi, es el padre de Dlimi Avalahbib, un muchacho de 15 años que fue apaleado en la Avda. Hassan II en la Smara ocupada, la tarde del lunes 1 de mayo por la polícía marroquí,(venía de jugar un partido), simplemente por llevar una camiseta de la selección española de futbol. Según su padre tiene fracturada la pierna derecha, vómitos de sangre y magulladoras por todo el cuerpo. Acudió al hospital y le negaron la asistencia médica. El se encontraba bastante desesperado y me pidió en repetidas ocasiones que le ayudara.

Creo que deberíamos escribir todos a  presidencia del gobierno gabinete@presidencia.gob.es diciendo que los marroquíes siguen apaleando saharauis, ahora a niños por llevar una camiseta de la selección española.

No se puede ser transigente con los asesinos de niños, hay que poner limites, y decir basta o se es cómplice.»

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