Révolte des Sahraouis - Revolt of the Saharawis - Revuelta de los Saharauis |
RESUMEN DEL DIA 19 DE SEPTIEMBRE
DAKHLA
Los activistas de Derechos Humanos de la provincia de Dajla, fueron agredidos esta misma tarde, por las fuerzas de opresión, cuando organizaban una manifestación pacífica, en solidaridad con los presos políticos saharauis, que mantienen una huelga de hambre indefinida en las cárceles marroquíes y cuyo estado de salud es altamente preocupante. El motivo principal de esta manifestación era la inmediata puesta en libertad de cada uno de ellos.
Los destacamentos de intervención policial, estaban dirigidos por el sanguinario HARIZ ELARBI y los comisarios Bahri Abdelatif y Abderrahman.
La intervención contra los manifestantes ha sido, una vez más, reprimida con violencia. Tras la agresión, fueron detenidos los siguientes activistas de DD.HH
Por otro lado, la Sra: Malouha Baail-la y Barray Ahmed Zain, han sido perseguidos y hostigados durante toda la tarde.
ADD.
22.09.05:
Aoulad chij
Elmahyoub, activista de DDHH, miembro del comite contra la tortura y
ex preso y hermano de un desaparecido y Mustafa Tekhrour, activista
de DDHH fueron maltratados por la policia.
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fotos
Cabe señalar que las autoridades de ocupación, han ordenado el despliegue total de sus fuerzas en todas las calles de dakhla, como medida intimidatoria y disuasiva contra la población Saharaui .
Los colegiados de los liceos y escuelas de secundaria, han boicoteado hoy las aulas en protesta contra el trato inhumano al que están siendo sometidos los presos políticos en huelga de hambre y para exigir su liberación inmediata.
FASK ( sur de Marruecos)
Mas de 70 ciudadanos de la localidad de FASK ( cercana a Goulimin), se han manifestado esta mañana delante de la sede del gobierno loca,l para exigir la liberación de los presos políticos Saharauis.
La situación de los presos políticos en huelga de hambre es alarmante pudiendo en estos días, ocurrir una tragedia humana si las autoridades marroquíes no atienden sus demandas.
DAKHLA
Les activistes des droits humains de la province de Dakhla ont été agressés par les forces de police alors qu'ils organisaient une manifestation pacifique en solidarité avec les prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim et pour demander leur lébération inconditionnelle.
C'est le sanguinaire HARIZ ELARBI et les commissaires Bahri Abdelatif et Abderrahman qui ont supervisé la violente intervention policière. Plusieurs personnes ont été interpellées, en particulier:
D'autre part MmeMalouha Baail-la et Barray Ahmed Zain, ont été poursuivis et pris en otage toute la soirée.
On assiste à un déploiment massif de forces de police dans toutes les rues de Dakhla comme mesure dissuasive de nouvelles manifestations.
Dans les lycées de la ville les élève ont boycotté les cours en protestation contre le traitement inhumain des prisoniers politiques sahraouis et pour exiger leur libération.
FASK ( Sud Maroc)
Plus de 70 citoyens de la localité de FASK ( proche de Goulimine) ont manifesté devant le bâtiment de l'administration locale pour exiger la libération des prisonniers politiques sahraouis.
Les prisoniers plitiques sahraous en grève de la faim depui plus de 40 jours sont dans des conditions alarmantes et une véritable tragédie est à craindre.
Le Conseil consultatif pour les Droits de l'Homme à la prison d'Oukacha
Le 19 septembre 2005, une délégation du Conseil consultatif pour les Droits de l'Homme, institution marocaine, a rendu visite aux 4 activistes Elmoutaoikil, Noumria, Lidri et Massaoud qui ont exposé aux six envoyés les violations des droits humains perpétrées au Sahara Occidental depuis l'intifada. Ils ont expliqué que l'état marocain a tenté de se venger sur eux en raison de la popularité dont ils jouissent parmi les Sahraouis et en raison de leur appui au droit à l'autodétermination et à l'indépendance.
Ils ont dénoncé les déclarations fausses du ministre de la justice marocain et les conditions de leur transfert à Casablanca, de même que la privation de téléphones mobiles, journaux et les tortures subie par Lidri et Noumria.
En réponse à la demande de la délégation de cesser la grève de la faim, ils ont déclaré être d'accord d'arrêter si les autorités marocaines rassemblent tous les prisonniers à la Prison noire et satisfont aux exigeances concernant l'amélioration des conditions d'incarcération.
The news of
September 19-09-2005
Demonstrations in Dakhla in solidarity with the 37 Sahrawi political prisoners in Moroccan prisons
On September 19, 2005 at 17:00, the Sahrawi citizens in Dakhla burst out in a protest peaceful demonstration starting from The Square of Martyrs in front of Sahara Regency hotel in solidarity with the Sahrawi political prisoners.
The Moroccan
forces led by the torturer, Hariz Larbi, have repressed the
demonstrators and chased them in the surrounding streets. Some
Sahrawi protestors were arrested, among them some activists, Takrour
Mohamed Elmostafa, Meska Ahmed Zain, Hassana Elouali, Elkhattat
Ahmed, Mechnane Mohamed, Ouled Cheikh Elmahjoub and Bahi Ahmed.
Some other Sahrawi citizens are being chased, among them Barrai Ahmed
Zain and Mlaiwiha Bouaaila.
The four Sahrawi political prisoners in Oukasha prison meet a delegation of the Moroccan Consultative Council for Human Rights
On September 19, 2005, a delegation sent by the Moroccan Consultative Council for Human Rights, a state institution, visited the four Sahrawi activists, Elmoutaoikil, Noumria, Lidri and Massaoud. The six-member delegation listened to the activists who explained all the violations of human rights that the Western Sahara witnessed during the intifada days. They stressed that the Moroccan state intended to take revenge from them because of their popularity within the Sahrawi people and their call for the Sahrawis right to self-determination and independence.
They condemned the Moroccan minister of Justice untrue declarations and their illegal deportation to Casablanca. They also condemned their deprivation of mobile phones, newspapers and the torture that Lidri Elhoucine and Noumria Brahim were subjected to.
Responding to the delegation request that the Sahrawi prisoners should stop the hunger strike; they said they are ready to do so if the Moroccan authorities are responsible enough to gather them all in the Black prison and fulfill their demands in order to improve their conditions.