La culture se
définit par rapport à des personnes et à des
groupes, depuis la famille jusqu’au quartier ou au pays. La culture
émane de la vie quotidienne dont elle constitue la trame et
révèle les tensions et les interactions au sein d’une
communauté humaine laquelle se trouve sans cesse au contact
d’autres communautés et en général du monde
extérieur.
Une partie de cette culture est héritée : c’est le
patrimoine, qui inclut la mémoire, des objets, des comportements
reçus de l’éducation et du milieu.
Une autre partie est en constante transformation : elle comprend
notamment les réponses données par les personnes et les
groupes aux problèmes qui leur sont posés par
l’environnement, la société, les autres groupes et
communautés. Les réponses sont généralement
des initiatives individuelles ou collectives. Elle se détermine
face à l’action de la collectivité,
représentée par les institutions et les politiques
publiques.
La culture est un facteur de mobilisation pour le développement,
par une prise de confiance et la mise en œuvre des potentiels de la
communauté. Mais la mobilisation ne se décrète pas
il faut d’abord en créer les conditions, améliorer
l’environnement quotidien et la confiance en soi, pour que la
population puisse retrouver pleinement sa conscience de citoyens.
Cette conscience doit constituer le cœur d’une stratégie de
développement culturel, et de développement social, en
visant le développement des personnes et des groupes sociaux,
qui contiennent de fait l’idée et le projet de l’expression.
Dans un projet politique de développement social qui doit
respecter le facteur culturel, les changement exigent du
temps. Et dans ce projet, il faut que la dimension sociale et la
dimension culturelle du développement soient deux
approches de la même démarche.
La culture et la société :
La difficulté de notre développement social consiste dans :
- Une programmation au coup par coup dans le cadre de procédures contraignantes.
- Il n’y a pas réellement une dimension culturelle dans notre politique.
Face au changement social dans notre société, le
ministère de la culture a la responsabilité
d’écouter, non pas une demande, mais une offre qui vient de la
population elle-même, une telle démarche induira un autre
rapport avec les citoyens qui deviendront des partenaires à part
entière de l’action culturelle.
Avant tout :
- Il faut ouvrir le débat sur le développement social et le développement culturel.
- Définir des stratégies globales et des programmes
d’action culturelle à partir d’une approche anthropologique
sociale et culturelle incluant les arts comme pratique symbolique
particulière et non centrale au sein du culturel.
- Assumer le développement social comme étant un
processus d’instauration des populations comme acteurs responsables et
centraux dans la perspective démocratique.
- Susciter le maximum de maillage d’acteurs dans les actions dans la
mesure où chacun s’accorde à dire que la culture est
l’affaire de tous et non le bien d’un seul.
- Mise en commun des forces matérielles et humaines pour réussir.
- Donner accès à la culture au sens professionnel du terme.
Pour que le
développement social soit efficace le ministère de la
culture doit trouver de nouveaux modes de communication avec le peuple
dans un cadre plus large et des programmes globaux qui commencent par :
- La création des institutions culturelles et artistique indépendantes comme :
1. agence de développement culturel et social.
2. union des artistes.
- Faire de l’animation un art et ressource de transmission des savoir, et du patrimoine oral.
Ce
programmes qui conduit a une double commande auprès
des artistes, création et animation, ce couplage se
décline lui-même en trois modalités :
1. L’artiste devient animateur.
2. L’artiste a recours à l’animation comme méthode de sa propre création.
3. L’artiste et le public créent ensemble.
- Il faut s’engager et s’investir en matière culturelle et
artistique soit pour valoriser ce qui existe déjà, soit
pour créer des situations, des contextes, où il n’existe
rien, et une définition de la culture qui puisse être
partagée.
A ce sujet se pose une série de questions comme :
- Quel doit être le contenu d’une politique culturelle vis-à-vis d’une population en grande difficulté ?
- Faut-il anticiper les attentes au risque de se tromper ?
- L’approche culturelle consiste-t-elle à répondre par une offre ou à créer un dialogue ?
La culture et l’école :
Dans le système scolaire, l’enjeu n’est plus seulement
celui du succès scolaire, il est aussi peut-être,
l’accès à un équilibre culturel permettant une
insertion dans la société et le respect de ses
règles.
Si on veut conforter les acquis en matière de la culture
à l’école, plusieurs pistes peuvent être
proposées dans ce sens :
- Une action culturelle dans l’enseignement : introduire dans le programme scolaire,
1. Des ateliers d’écriture et du théâtre
2. Lecture, conte, éveil, découverte
- Initiation artistique, théâtrale et musicale.
- Initiation et pratique des techniques modernes, telle que photo, vidéo, cinéma.
- Une formation des enseignants, par une coopération
étroite entre les deux administrations de l’éducation et
de la culture de manière à échanger des
pédagogies et des expériences.
- Les effets sur les enfants de l’action culturelles et artistique
devraient pouvoir s’évaluer globalement et dans le temps.
Le patrimoine et
la mémoire d’une population constituent la plus importante
ressource dont cette population dispose pour assurer son propre
développement à travers éducation, cohésion
sociale, confiance en soi, liens intergénérations, ceci
est encore plus vrai lorsque la crise, sociale, culturelle, que
connaît cette population menace la transmission de cette
mémoire et de ce patrimoine.
La culture mérite une reconnaissance comme dimension à
part entière dans notre politique, sans une culture active
consciente de sa valeur et de ses valeurs confirmées, il n’y a
pas de développement social possible, mais seulement des actions
comme c’était le cas depuis toujours.
SALAH KHATRI
9 sept.-06
La cultura se
define con relación a personas y en a grupos, desde la familia
hasta el barrio o al país. La cultura emana de la vida diaria
cuya trama constituye y revela las tensiones y las interacciones al
suyo de una comunidad humana la cual se encuentra sin cesar al contacto
de otras comunidades y en general del mundo exterior. Se hereda una
parte de esta cultura: es el patrimonio, quién incluye la
memoria, objetos, comportamientos recibidos de la educación y el
medio.
Otra parte
está en constante transformación: incluye, en particular,
las respuestas otorgadas por las personas y los grupos a los problemas
que les son planteados por el medio ambiente, la sociedad, los otros
grupos y comunidades. Las respuestas son iniciativas generalmente
individuales al colectivas. Elle se détermine face à
l’action de la collectivité, représenté par les
institutions et les politiques publiques. La cultura es una factura de
movilización para el desarrollo, por una toma de confianza y la
aplicación de los potenciales de la comunidad. Pero la
movilización no se publica él es necesario en primer
lugar crear las condiciones, mejorar el medio ambiente diario y la
confianza enLa cultura es una factura de movilización para el
desarrollo, por una toma de confianza y la aplicación de los
potenciales de la comunidad. Pero la movilización no se publica
él es necesario en primer lugar crear las condiciones, mejorar
el medio ambiente diario y la confianza ensí, para que la
población pueda encontrar plenamente su conciencia de
ciudadanos.
Esta conciencia debe constituir el corazón de una estrategia de
desarrollo cultural, y desarrollo social, destinándose al
desarrollo de las personas y grupos sociales, desarrollo social,
destinándose al desarrollo de las personas y grupos sociales,
contienen de hecho la idea y el proyecto de la expresión. En un
proyecto político de desarrollo social que debe respetar el
factor cultural y el cambio exigen el tiempo. Y en este proyecto,
es necesario que la dimensión social y la dimensión
cultural del desarrollo sean dos enfoques del mismo planteamiento.
La cultura y la sociedad:
La dificultad de nuestro desarrollo social consiste en:
- Una programación el poco a poco en el marco de procedimientos vinculantes.
- No hay realmente una dimensión cultural en nuestra política.
Ante el cambio
social en nuestra sociedad, el Ministerio de Cultura a la
responsabilidad de escuchar, no una demanda, pero una oferta que viene
de la propia población, tal planteamiento inducirá otro
informe con la ciudadana que se volverán socios de pleno derecho
de la acción cultural.
Sobre todo:
- es necesario abrir el debate sobre el desarrollo social y el desarrollo cultural.
- Definir estrategias globales y es programas de acción
cultural a partir de un enfoque antropológico social y cultural
que incluye las artes como práctica simbólica particular
y no central al suyo del cultural.
- Asumir el desarrollo social como un proceso de
instauración de la población como protagonistas
responsables y centrales en la perspectiva democrática.
- Suscitar el máximo de dimensión de la malla de
protagonistas en las acciones la medida donde cada uno se concede a
decir que la cultura es el asunto de todos y no el bien de uno
sólo.
- Puesta en común de las fuerzas materiales y humanas para conseguir.
- Dato acceso a la cultura al sentido profesional del término.
Para que el
desarrollo social sea eficaz el Ministerio de Cultura debe encontrar
nuevos métodos de comunicación con el pueblo en un marco
más amplio de los programas globales comienza por:
- la creación de las instituciones culturales y artística independiente como:
1. agencia de desarrollo cultural y social.
2. unión de los artistas.
- hacer de la animación un arte y recurso uno de transmisión del conocimiento, y de Patrimonio oral:
Estos programas
que conducen a un doble pedido adjunto a los artistas, creación
y animación, este acoplamiento se él mismo decadencia en
tres modalidades:
1. el artista se convierte en animador.
2. artista recurre a la animación como método de su propia creación.
3. El artista y el público que crea juntoes
- necesario se compromete y se compromete en materia cultural y
artístico sea para valorizar lo que ya existe, o para crea
situaciones, contextos, o no existe nada, y una definición de la
cultura que dibuja ser división.
Este tema se plantea una serie de las cuestiones como: ¿
- cuál debe el contenerse de una política cultural frente a una población en gran dificultad?
- es necesario anticipar las esperas a riesgo de equivocarse?
- el enfoque cultural consiste en responder por una oferta o en crear un diálogo?
La cultura y la escuela:
En el sistema
escolar, lo que está en juego no es ya sino el del éxito
académico, es también quizá, el acceso a un
equilibrio cultural que permite una inserción en la sociedad y
cumplimiento de sus normas.
Si se quieren consolidar los acervos en materia de la cultura a la escuela, varias pistas pueden ser proponen en este sentido:
- una acción cultural en lo enseñan: introducir en el programa escolar,
1. talleres de escritura y el teatro
2. lector, cuento, despertar,
- descubrimientoiniciación artística, teatral y musical.
- Iniciación y práctica de las técnicas modernas, como fotografía, vídeo, cine.
- Una formación de los profesores, por una estrecha
cooperación entre las dos administraciones de la
educación y la cultura para intercambiar pedagogías y
experiencias.
- Los efectos sobre los niños de la acción culturales y
artística deberían poder evaluarse globalmente y en el
tiempo.
El patrimonio y
la memoria de una población constituyen el el más
importante recurso del que esta población dispone para
garantizar su propio desarrollo a través de educación,
cohesión social, confianza en sí, vínculos inter
generaciones, esto es aún más verdadero cuando la crisis,
social, cultural, quién conoce a esta población amenaza
la transmisión de esta memoria y este patrimonio.
La cultura merece un reconocimiento como dimensión va entera en
nuestra política, sin una cultura activa consciente de su valor
y los sus valores, confirmada, no hay desarrollo social posible, pero
solamente de la acción como era el caso todavía
desde.
SALAH KHATRI
9 de sept.-06