OPINION



Maintenant ou jamais

Salah Khatri


Ce n’est pas comme chaque fois que  nous avons l'habitude de le dire, et ce n’est pas un hymne, mais c’est une alerte rouge à toutes les femmes et les hommes qui rêvaient et désiraient et luttaient pour l’Independence du Sahara Occidental.

Au delà des conséquences politiques directes le 12è congrès du F. Polisario sera  la dernière étape dans la lutte du peuple sahraoui pour son indépendance ! Le dernier congrès avant l’indépendance ou l’autonomie du Sahara Occidental.

Pour  des raisons politiques nationales et internationales que toutes et tous les Sahraouis et les observateurs de la cause sahraouie connaîssent parfaitement, et aussi pour des raisons sociales et humaines dans les campements refuge du peuple sahraoui.

Il convient de réfléchir sur le fond pour reconstruire l’identité sahraouie et sur une base qui ne cède rien sur sa vocation à garantir l'unité nationale, mais qui affronte aussi  sans faux-fuyants la nouvelle donne de la mondialisation. Le congrès est le lieu naturel du débat, sans concession, débat qui fait appel aux idées mais aussi expériences professionnelles des uns et des autres.

Il n’est pas de dogme qui tienne contre l’évolution des sociétés et des mentalités. Aussi bien, la modernisation que nous appelons de nos vœux ne passe pas par de grandes joutes doctrinales entre la réforme et la révolution, il n’y a pas aujourd’hui une volonté sérieuse de ce débat.

Depuis le 1988, le seul vrai vainqueur est le Maroc, c’est-à dire la régulation de l’occupation marocaine de notre pays économiquement et sociales.

C’est pour n’avoir jamais voulu entreprendre un critique rigoureuse  des nos pratiques gouvernementales, que le F. Polisario est  aujourd’hui dans une impasse, il flotte entre deux systèmes, l’un dont il n’ose plus se réclamer (la révolution), l’autre qu’il n’ose pas adopter (le tribalisme), cette question est au cœur de l’actualité la plus brûlante de la société actuelle et de son fonctionnement.

Le F. Polisario est porteur des valeurs révolutionnaires de la liberté c’est pourquoi nous sommes viscéralement attachés a lui.

Trente quatre ans après le 10 Mai 1973, le F. Polisario vit l’unification de sa révolution, aujourd’hui il  a besoin d’être refondé en profondeur à partir d’une critique rigoureuse de son système politique actuel.

Alors que faire ? Par quoi commencer ? Par le plus douloureux, pour tout appareil bureaucratique, c’est-à-dire le statut juridique, pénal et politique du comité national, et  le devoir et le pouvoir de ces membres. Notre expérience avec ce système depuis trente deux ans nous permet aujourd’hui de tirer des conséquences, pour moi le principal  défaut de notre appareil politique demeure dans le statu du comité national qui provoque tous les défauts administratifs et l’absence de la responsabilité politique, de  la réforme et de la justice). Les membres du comité national sont prêts à n’importe quel effort, à n’importe quel sacrifice pour éviter de réfléchir à des reformes politiques et administratives de notre système politique. Donc il est nécessaire que :
- Le comité national soit  un pouvoir consultatif et non exécutif
- la séparation entre  le comité national et le gouvernement sauf le premier ministre qui doit être membre du comité national.

Notre république doit être profondément rénovée, politiquement d’abord, moralement ensuite, pour remettre dans nos institutions la préoccupation première de l’intérêt général. Un état républicain avec un statut pénal du chef de l’état, un statut juridique du gouvernement et plus responsabilité au parlementaire.

Pour être fidèle à ses principes, le F. Polisario doit mener une lutte déterminée contre tous les abus de pouvoir et l’abus de biens publics. Il doit rassembler dans un patrimoine culturel commun. Les Sahraouis veulent des gouvernements qui assument leur responsabilités. Il est encore possible de détourner le cours de la crise quels que soient les obstacles.

Combien faudrat-il de temps au F. Polisario pour s’en apercevoir ? Je ne sais pas, mais je sais que nous avons encore la dernière  chance avant un regret éternel, et arrêtons d’attendre de traire  le bélier.


Salah khatri    
Alicante  le 12/10/2007


OPINION


Ahora o nunca

Salah Khatri 

Esto no es como cada vez que nos acostumbramos de decirlo, y no es un himno, pero es una alerta roja a todas las mujeres y los hombres que soñaban y deseaban y luchaban por el Independence del Sahara occidental.

Más allá consecuencias políticas directas lo 12 congreso del F. Polisario será la última etapa en la lucha del pueblo saharaui para su independencia! El último congreso antes de la independencia o autonomía del Sahara Occidental.
 
Por razones políticas nacional e internacional que todos saharauis y los observadores de la causa saharaui conocen perfectamente, y también por razones sociales y humanos en los campamentos refugio del pueblo saharaui. 

Conviene reflexionar sobre el fondo para reconstruir la identidad saharaui es sobre qué base que no cede nada sobre su vocación que debe garantizarse la unidad nacional, sino que se enfrenta también sin evasivas el nuevo reparto de la universalización. El congresoo es el lugar natural del debate, sin concesión, debate que recurra a las ideas y también experiencias profesionales de las unas y de los otros. No es de dogma que tenga contra la evolución sociedades y mentalidades. Tan, la modernización que llamamos de nuestros deseos no pasa por grandes luchas doctrinales entre lo reforma y la revolución, no hay hoy una voluntad seria de esta discusion.

Desde el 1988, la única verdad vencedora es Marruecos, es decir el reglamento de la ocupacion marroquí de nuestro país económicamente y sociales.

Es no haber querido nunca emprender una crítica rigurosa de nuestras prácticas gubernamentales, que el F. Polisario está hoy en un callejón sin salida, flota entre dos sistemas, uno cuyos no se atreve ya a no reclamarse (la revolución), el otro que él no se atreve a no adoptar (el tribalismo), esta cuestión está en el centro de la actualidad más extrema de la sociedad actual y su funcionamiento.

El F. Polisario es portador de los valores revolucionarios de la libertad por eso nosotros somos visceralement junto él. 

Treinta y cuatro años tienen prados el 10 de mayo de 1973, el F. Polisario vive la unificación de su revolución, hoy tiene necesidad refondé a fondo a partir de una crítica rigurosa de su sistema político actual.

¿Mientras que hacer? ¿Por muelle comenzar? Por el más doloroso, por todo aparato burocrático, es decir, el estatuto jurídico, penal y político del Comité nacional, y el deber y el poder de estos miembros. Nuestra experiencia con este system desde hace treinta y dos años permitirnos hoy sacar consecuencias, para mi el principal defecto de nuestro aparato político permanece en el statu del Comité nacional que causa todos los defectos administrativas y la ausencia de la responsabilidad política, de reforma y de la justicia). Los miembros del Comité nacional están listos a cualquier esfuerzo, a cualquier sacrificio para evitar reflexionar sobre la reformada política y administrativa de nuestro sistema político. Pues es necesario que:
- El Comité nacional o sea un poder consultivo y no ejecutivo
- la separación entre el Comité nacional y el Gobierno seguro el Primer Ministro que debe ser miembro del Comité nacional. 

Nuestra República debe renovarse profundamente, políticamente en primer lugar, moralmente a continuación, para volver a poner en nuestras instituciones la primer preocupación del interés general. Un estado republicano con un estatuto penal del jefe del estado, un estatuto jurídico del Gobierno y más responsabilidad al parlamentario. 

Para para ser fiel a sus principios, el F. Polisario debe llevar una lucha determinada contra todos los abusos de poder y el abuso de bien pública. Debe reúne en un patrimonio cultural común. Los sahraouis quieren a Gobiernos que asumen sus responsabilidades. Es aún posible desviar el curso de la crisis cualesquiera que sean los obstáculos. 

Cuánto tiempo sara necesario al F. Polisario para darse cuenta? No sé, pero sé que teníamos aún la última oportunidad antes de un pesar eterno, y deteníamos esperar tratarlo del espolón. 


Salah Khatri      

Alicante el 12/10/2007




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